Composition de la Cabine

 

 

  Vidéoprojecteur DAVIS DL 450 II Millenium

 (installé en juillet 2000)

 Il faut le dire tout de suite, ce vidéoprojecteur constitue le minimum pour une projection de qualité, c'est dire que beaucoup de modèles ne valent rien.

Le DAVIS DL 450 II utilise la technologie DLP-DMD, 480000 petits miroirs oscillent pour laisser passer la lumière, ou pas. Comme pour les modèles LCD, il n'y a pas de balayage, chaque miroir reçoit l'information de sa position simultanément avec les autres miroirs, il n'y a donc pas de scintillement.

L'intensité lumineuse de chaque pixel est déterminée par la durée de l'activation de chaque miroir. C'est ainsi qu'on peut restituer l'échelle des gris en 1024 valeurs.

Des essais de mires permettent de constater une très bonne définition de plus de 500 points/ligne. Une lampe de 120 watts assure une image très lumineuse et une répartition homogène sur toute la surface de l'écran.

Avantage également par rapport à la technique LCD, l'absence de pixelisation. Les miroirs étant placés côte à côte avec seulement un espace d'un micron ne permettent pas de distinguer les pixels sur l'écran. L'image gagne donc en définition mais aussi en luminosité.

Ce vidéoprojecteur est également compatible informatique avec sa matrice 800 x 600. Il donne paraît-il d'excellents résultats, mais c'est surtout en home-cinéma qu'il est le plus souvent utilisé.

QUELQUES REPROCHES SUR LE MODELE UTILISE :

Les noirs profonds qui font la supériorité de la technologie DMD sont recouverts d'un léger voile lumineux, ce qui fait perdre du contraste à l'image. Ce défaut est particulièrement visible sur les scènes sombres.

Une légère tache lumineuse au bas de l'écran, celle-ci est perceptible dans les séquences très sombres.

Une restitution de l'image avec des vibrations de lignes selon le contenu de l'image. Ce défaut est probablement dû au bricolage de trames pour transformer l'entrelacé en progressif. (Un jour viendra où tout sera en progressif). En regardant attentivement l'image, on se rend compte que ce vidéoprojecteur traite différemment selon qu'il s'agit d'images en mouvement ou d'images relativement fixes. Les images fixes où comportant de légers mouvements sont parfaites, les panoramiques sont plus difficilement reproduits. Cela est dû au traitement numérique par l'interpolation des lignes manquantes pour chaque image.

PATIENCE :

Avec ce vidéoprojecteur, c'est un bon départ pour le home-cinéma, mais on se met a rêver très vite d'une amélioration de la qualité. Une matrice au format 16/9 en 1388 x 768 par exemple, et pourquoi pas une matrice par couleur fondamentale ? Egalement une entrée RVB bien que l'YC donne de bons résultats. Nous attendons aussi les lecteurs de DVD à balayage progressif et la haute définition.

 

La fin tragique de ce vidéoprojecteur,

après 4 années de bons services

 

Le drame s’est produit en pleine séance du FISTON palace, le vidéoprojecteur Davis s’est éteint subitement, en pleine force de l’âge. Cette fin tragique n’est pas consécutive à une longue maladie puisqu’il fonctionnait presque journellement sans le moindre petit frisson. Son image fringuante ne laissait pas présager une fin aussi brutale. Bref, c’est dans un court soupir qu’il s’est éteint, accompagné d’une petite fumée blanche, qui n’indiquait pas l’élection d’un nouveau pape, mais qu’il va falloir trouver dard dard un nouveau projecteur.

L’autopsie a montré un trou sur la carte d’alimentation, ce trou est dû à un amorçage important à la surface du circuit imprimé.

 

Remplacement du vidéoprojecteur (en juin 2004)

 

Le temps était donc venu de partir en quête d’un nouveau projecteur.

Après consultation de l’offre du marché, des nouvelles caractéristiques alléchantes des projecteurs du moment, et après lecture des magazines spécialisés, le choix s’est arrêté sur le nouveau vidéoprojecteur Sony VPL-HS50. Il est présenté dans la presse comme un monstre de qualité. Bien sûr c'est un LCD, mais les LCD

d'aujourd'hui n'ont plus rien à voir avec les LCD d'hier, et n’ont plus rien à envier aux DLP, paraît-il ?

On va bien voir, il faut des pigeons pour tester.

Jusqu’à maintenant j’avais quelques réticences envers le LCD, par exemple :

 

  • des noirs plutôt gris
  • un effet très désagréable d’effet de grille sur l’écran, dû aux bords noirs des pixels.
  • Des risques de pixels morts.
  • Un faible contraste
  • Une colorimétrie approximative.

 

Il paraît que ces désagréments n’ont plus cours dorénavant sur les LCD ?

C’est avec une certaine fébrilité, mais aussi avec le goût du risque que nous avons installé et testé le vidéoprojecteur du siècle.

La première minute nous a émerveillé, le visionnage d’une séquence du film " Les enfants du marais ", puis de " Toy story 2 " nous a montré une image flateuse, d’une définition parfaite. Mais comme dans la vie il ne faut jamais s’emballer et qu’il faut plutôt se méfier des coups de foudre, il est préférable de mettre son jugement en délibéré. On est comme ça chez FISTON production !

C’est donc après une période d’adaptation et de manipulations des nombreux menus, à en avoir une indigestion, que l’on peut avoir une idée plus précise de ce projecteur aux derniers perfectionnements.

Qu’en est-il aujourd’hui, après deux mois d’exploitation.

Une profonde déception !

 

Pour ce qui est des craintes :

  • Les noirs plutôt gris sont maintenant bien noirs.
  • L’effet de grille a complètement disparu, je ne sais pas par quelle combine, mais cet effet désagréable n’existe plus.
  • Le risque de pixels morts est toujours présent, mais par chance ceux du modèle testé sont bien vivants. Il faut espérer qu’ils resteront en bonne santé tout au long de leur carrière.
  • Le faible contraste s'est amélioré.
  • Reste la colorimétrie approximative, qui est toujours approximative. Les couleurs sont loin d’être naturelles, elles ne valent pas celles obtenues par les projecteurs DLP. Même si souvent l’image projetée est assez flateuse avec des couleurs chatoyantes, elle est relativement éloignée de la réalité.

La qualité incontestable de cet appareil est la définition de l'image, le piqué est excellent , il est à mettre au compte sans doute, de l'objectif. 

Les nombreux menus de réglages permettent de finaliser l’image au goût du spectateur.

Par défaut, certains réglages sont trop poussés :

  • Le contraste
  • La colorimétrie vers le rouge
  • Les contours

Il est indispensable de les régler selon ses goûts.

 

Par contre il y a deux choses qui ne vont pas du tout, mais alors pas du tout !

 

  • La projection des films en noir et blanc
  • L’overscan

Il semble impossible d’effectuer la balance des blancs sur un film en noir et blanc, le blanc est soit bleuté, soit rosé. Pire, sur la même image la partie gauche est rosée, tandis que la partie droite est bleutée. Cet effet rappelle le bon temps du Cinéma de Papa, lorsque le projectionniste s’endormait sur sa lanterne à arc, et que les charbons venaient à s’emballer. Mais nous ne sommes plus au temps du Cinéma de Papa. On veut une belle image pour goûter au charme du beau film en noir et blanc. Impossible d’équilibrer les blancs avec ce projecteur. On s’y approche en réduisant luminosité et contraste, mais ce n’est pas du boulot.

 

Seconde critique, l’overscan. L’image est malheureusement amputée à la projection. Il est absolument inconcevable qu’une entreprise comme Sony puisse censurer ainsi une partie de l’image. Les bords de l’image qu’un cadreur a consciencieusement et amoureusement fignolé sont amputés grossièrement.

Il faut reconnaître que JVC pratique de la même façon. Un technicien du service après-vente d’Argenteuil, a répondu qu’il n’en avait rien à faire et que ce problème ne regardait pas le client. (merci en passant à ce technicien mal embouché, pour son intelligente réponse ! ! !).

 

Voilà donc quelques points particuliers à surveiller si vous avez l’intention de vous intéresser à ce vidéoprojecteur.

Dernière petite chose, le Zoom est manuel. Bon, on le sait puisque cela figure dans les caractéristiques, mais il faut rappeler que l’image 4/3 affichée sur les panneaux LCD, ne représente qu’une partie de ces panneaux, il en résulte une image réduite sur l’écran. Il faut donc agir sur le zoom manuel pour l'ajuster afin qu’elle occupe tout l’écran. Pas très facile lorsque ce projecteur se trouve accroché au plafond. L’escabeau doit se trouver à proximité. Ou bien se contenter d’une image réduite. C’est à ce moment que l’on regrette de ne pas disposer d’un zoom motorisé.

 

C’était quelques points particuliers à surveiller.

 

Quant à moi, je me demande si je n’aurais pas dû reprendre un DLP ?

 

oooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooo

- Après plusieurs mois d'exploitation -

Le visionnage des films en couleurs est acceptable, sauf dans le cas où une couleur est appelée à remplir l'écran. Dans ce cas il y a un gros problème de pureté.

Quant aux films en noir et blanc, c'est un désastre. La partie gauche de l'image est rosée, alors qu'elle devient verdâtre progressivement vers la droite.

Pour le SAV de Sony, cette anomalie ne constitue pas un défaut. Après avoir confié le vidéoprojecteur au SAV de Sony pendant plus d'un mois, celui-ci est revenu avec une mention "Cet appareil ne comporte aucun défaut".

Déception ! Je ne dirais rien de ce que je pense du Service Après Vente de Sony.

Il y a pourtant un gros problème sur ce projecteur. Ce problème a été parfaitement identifié, il porte le nom de shading. Ce défaut est caractéristique du procédé LCD. Il est tout à fait absent sur les vidéoprojecteurs DLP.

On peut dire que ce défaut est présent plus ou moins sur l'ensemble des vidéoprojecteurs LCD. Il est donc indispensable lors d'un achat d'un projecteur, et tester l'image sur une source en "noir et blanc".

En ce qui me concerne, le prochain vidéoprojecteur sera un DLP, et si possible un tri-DLP.

  

Voici un aperçu des caractéristiques de ce vidéoprojecteur :

3 écrans LCD 720p p-Si TFT 0.73".

Résolution native de 1280 x 720 x 3 (2 764 800 pixels).

Taux de contraste de 6000:1.

Luminosité de 1200 lumens ANSI.

Entrée numérique HDMI.

Fonction de déplacement manuel du système d'optique (Lens Shift).

Zoom 1.6x.

Objectif ARC-F (All Range Crisp Focus).

Cinéma Black Pro.

Pilote d'écran 12 bits.

Technologie RCP (Real Colour Processing).

Ventilateur silencieux (24 dB).

Télécommande rétro-éclairée.

Installation sur table ou au plafond.

Doubleur de ligne / Scaler

Correction de trapèze horizontale / verticale

Luminosité (ansi lumen) : 1200

Ratio de contraste : 6000.1 (mais pas dans toutes les configurations)

Résolution : WXGA, 1280 x 720

Format d'image : 16/9

Niveau sonore de la ventilation : 24 dB

Puissance de la lampe de projection : 135 Watts UHP

Distance de projection : 1,2 à 9,1 m

Connectique : S-Vidéo, D-Sub 15 broches, HDMI, Composite, YUV.

Dimensions : 360 x 135 x 348

Poids : 5,6 Kg

Consommation en marche : 195 Watts

Consommation en veille : 3 Watts

 

 

 

   AMPLI audio-vidéo RDV-6095 RDS (installé en juillet 2000, toujours en service)

 

Comme pour le vidéoprojecteur, cet ampli constitue un minimum convenable. Il délivre une puissance de 5 fois 65 watts max. Il est équipé à l'arrière de 6 entrées directes pour relier les sorties analogiques d'un décodeur Dolby Digital ou DTS. Outre ces 6 entrées il comporte 2 entrées numériques, une optique et l'autre coaxiale. On peut sélectionner un des sept modes de fonctionnement surround suivants :DTS, Dolby Digital, Dolby Pro Logic, Theater, Hall 1, et Hall 2

 DTS (digital theater system), permet de bénéficier du nouveau système de décodage entièrement numérique 5.1 ou 6.1 . Cinq canaux plus un grave.

 DOLBY DIGITAL, permet de bénéficier du système de décodage entièrement numérique 5.1 C'est le système qui offre aujourd'hui la meilleure dynamique, la meilleure qualité sonore et la meilleure séparation des canaux.

 DOLBY PRO LOGIC, ce mode de fonctionnement est à choisir pour les films et la musique codés en Dolby Surround (généralement les laser-disc, les cassettes VHS et les émissions stéréo nicam. Non seulement le Dolby Pro Logic décode les informations spécifiques des canaux, central, avant et arrière, mais il offre également une perception claire et tridimensionnelle du son.

 THEATER, mode à utiliser pour les films stéréo non codés Dolby Surround, mais pour bénéficier tout de même d'une reproduction sonore semblable aux salles de cinéma.

 HALL 1, mode surround conçu pour la reproduction des concerts directs et autres programmes musicaux.

 HALL 2, ce mode permet d'accroître artificiellement la taille de la scène sonore

 

Cet ampli dispose des entrées CD - Aux. - DVD - VTR1 - VTR2 et d'une sortie Enregistrement monitor.

Côté vidéo, il est exclusivement doté de prises en entrées/sorties RCA Composite. C'est la raison pour laquelle la liaison choisie est directement de la sortie YC du lecteur à l'entrée du vidéoprojecteur, par un câble à contacts plaqués or. Ce qui limite les pertes au maximum. Le passage du lecteur, que se soit le DVD, ou les magnétoscopes SVHS, DVHS, ou DV, se fait en modifiant le câblage à chaque fois. Pas très pratique, mais c'est une sécurité pour préserver l'intégrité du signal.

 

  Lecteur de DVD THOMSON DTH3300

 (installé en juillet 2000, il a été rapidement été abandonné)

Peut-on compter sur la fiabilité d'un lecteur de DVD ?

NON, NON, NON, et NON !

Quelque soit le modèle, on ne peut que constater des défaillances : saccades, sautes, blocages complets avec refus d'aller plus loin, toutes ces joyeusetés sont au menu de la séance. A qui la faute ?

Pour l'éditeur du film, c'est le constructeur. Pour le constructeur de l'appareil, c'est le film. Facile, et le client dans tout ça ?

En fait, la responsabilité revient au constructeur et à l'éditeur. Chacun fait sa cuisine et respecte plus ou moins le cahier des charges. Ce qui explique qu'un DVD se bloque sur un appareil, et pas sur un autre.

Il faut savoir que chaque lecteur a un bios intime et que chaque constructeur fait évoluer ce bios au fur et à mesure des problèmes rencontrés. Sur deux lecteurs Thomson DTH 3300 achetés presque en même temps, les bios avaient des versions différentes. Certains films se bloquaient et d'autres n'étaient même pas reconnus. Le SAV Thomson, par une intervention à mis à jour le bios démodé. Maintenant les deux appareils fonctionnent tous les deux d'une manière identique, c'est à dire qu'ils bloquent sur les même films.

Un conseil en passant, faire mettre à jour le bios du lecteur avant la fin de garantie. Après, toute intervention coûte très cher sur un lecteur de DVD.

Les éditeurs ne sont pas non plus sans reproches, si certains DVD sont superbes, ce n'est pas le cas de tous. Défauts de conception, d'informations, normes plus ou moins suivies, compression exagérée, etc…

Certains éditeurs ont le culot de parler de restauration de film, alors qu'il subsiste de nombreux défauts qui auraient pu être supprimés, déchirure de gélatine, rayures, poussières et repères de fin de bobines, craquements violents dans la bande son, etc….

Ou les éditeurs baissent leurs prix, ou bien ils nous sortent un produit parfait.

 

Pour en revenir au lecteur Thomson DTH3300, compte tenu des défauts mentionnés plus haut et qui concernent l'ensemble des lecteurs, le DTH 3300 offre une belle image en RVB ou YC. Pour juger cette image il faut la projeter sur deux mètres de large et la comparer avec celle d'autres lecteurs. Par exemple, l'image du Thomson est belle en vidéoprojection, alors qu'elle est vilaine avec un Tokaï 715 S. L'image du Tokaï est par contre tout à fait acceptable sur un téléviseur.

Au standard Pal ou Pal 60, il peut lire le standard NTSC et dispose même d'un convertisseur interne NTSC/Pal permettant de sortir sur un téléviseur Pal. Pour une meilleure qualité, il est préférable de garder la lecture NTSC si l'on dispose d'un périphérique acceptant le NTSC.

Ne pas utiliser la sortie composite qui est de très mauvaise qualité, mais la sortie RVB ou YC.

Enfin il dispose d'un double transcodage Dolby Digital et MPEG2 intégré.

Son remplaçant :

(abandonné également car il n'assure que la lecture des DVD)

Avec le nouveau vidéoprojecteur Sony, et son entrée HDMI, il serait dommage de garder lecteur de DVD Thomson, à entrée analogique.

Il a donc été convenu lors de la dernière réunion du Conseil d’administration de FISTON production, de procéder au renouvellement du lecteur de DVD Thomson, par le Samsung DVD-HD745, qui possède une sortie DVI. La chaîne sera don exclusivement numérique, et adieu l’analogique, pour le plus grand bonheur des spectateurs du FISTON palace.

Caractéristiques du lecteur Samsung DVD-HD745 :

Compatible avec la plupart des formats vidéo, dont DivX

Compatible DVD-audio et SACD

Sortie DVi

Taille Extra-Slim (45mm)

Télécommande universelle

Compatibilité Picture CD, JPEG CD, MP3 et WMA


Compatibilité
DVD-vidéo, DVD-audio, SACD, DivX, DVD-R/+RW/+R/-RW, SVCD, Picture CD, JPEG CD, CD Audio, CD-R/RW, CD-R MP3 & WMA

Vidéo
Lecture accélérée/ralenti x2, x8, x16, x32, x128 - 1/2, 1/4, 1/8
Compatible DivX (évolutif)
Compression numérique MPEG-2
Standard (contrôle par affichage) PAL / NTSC
Convertisseur Vidéo D/A 10 bits
Conversion NTSC/PAL

Audio
Compatible Dolby Digital, MPEG (5.1) & DTS
Contrôle du niveau de sortie
Sorties numériques Dolby Digital/DTS/PCM/MPEG
Son Virtual 3D Sound
Convertisseur N/A 24 bits/192KHz

Fonctions
Télécommande universelle
Compatibilité 16/9-4/3 (Letter box-Pan scan)
Zooms image x2/x4
Affichage sur écran (type G.U.I) 6 langues
Pause & avance trame par trame
Instant replay (retour arrière 10 secondes)
Chapter digest (chapitrage)
Reprise automatique de lecture
Économiseur d’écran
3 Niveaux d'illumination (FLT)
Programmation CD audio/Chapitre/titre
Contrôle parental
Molette Shuttle en façade

Connectique
1 Sortie DVI (Digital Visual Interface)
2 Sorties vidéo composite (Cinch)
1 Sortie S-Vidéo
1 Sortie Video composante
1 Sortie Péritel (R.V.B/S-Vidéo/Vidéo)
2 Sorties audio (Cinch)
1 Sortie audio numérique optique
1 Sortie audio numérique coaxiale
1 Sortie 5.1 (Dolby Digital, DTS)

Accessoires
1 Cordon audio/Vidéo (Cinch)
1 Télécommande multimarque + 2 piles AA
1 Cordon DVI

Spécifications techniques
Dimensions (L x H x P) : 430 x 45 (49 pied) x 250 mm
Poids : 2,4kg
Consommation marche / veille : 13W / 3W
Alimentation 230V~50Hz

 

 

 

  MAGNETOSCOPE DVHS JVC HM-DR10000 MS

 (Est encore en service pour le visionnage des VHS - SVHS - et DVHS)

 

 

La carte tuner en option sur le vidéoprojecteur ne donne pas une belle image, on a tout intérêt à utiliser le tuner d'un magnétoscope de bonne qualité. Pourtant même avec ce magnétoscope DVHS d'excellente qualité, l'image obtenue en vidéoprojection n'est pas bonne. Et le transcodage n'arrange rien.

La seule façon de d'avoir une projection de qualité, c'est de réceptionner les émissions par satellite numérique.

Pour le visionnage des cassettes en vidéoprojection, le VHS est trop mauvais, de très nombreux drops sur l'image et une trop mauvaise définition. Le cas du SVHS est limite, il faut une image particulièrement belle pour qu'elle soit juste acceptable. Par contre, le DVHS en MPEG2 dans sa version standard, donne une très belle qualité d'image. semblable aux meilleurs DVD. La version faible débit du MPEG2 est acceptable si on accepte une perte de définition.

A noter en passant, l'enregistrement en MPEG2 n'est possible qu'avec des cassettes spéciales. Néanmoins il est possible de forcer le magnétoscope à enregistrer du numérique sur des cassettes standards et SVHS.

 

En résumé, c'est un excellent magnétoscope VHS, SVHS, et DVHS. L'analogique bénéficie d'un TBC, d'un filtre de chroma, et de circuits correcteurs. Le numérique au format MPEG2 propose deux débits ; 4,7 Mb/sec pour la vitesse lente, et 14,1 Mb/sec. pour le standard.

Le plus gros reproche que l'on puisse faire à ce magnétoscope, est l'absence de sortie numérique. Mais il faut reconnaître que sa sortie YC est excellente, on y recueille plus de 500 points/ligne.

 

  MAGNETOSCOPE DV DHR1000 SONY

 (Encore en service pour le visionnage des cassettes DV)

Le DHR1000 est un vrai magnétoscope de légende, d'une robustesse exceptionnelle et d'une précision absolue. Ce n'est pas un hasard si ce scope est toujours au catalogue de Sony, on peut penser qu'il le sera encore longtemps.

Son image est superbe, il accepte les cassettes mini DV, petites et grandes cassettes, ainsi que DVCam (en lecture). C'est un très bel outil de montage, avec seulement quelques légers reproches pour atteindre la perfection.

En utilisant ce magnétoscope comme lecteur pour la vidéoprojection, avec une liaison scope > projecteur en YC, on obtient pratiquement une image aussi belle qu'avec un bon lecteur DVD, dans la limite des 500 points/ligne, ce que le vidéoprojecteur est tout à fait capable de restituer. Des images tournées avec la Sony VX9000, lues par le DHR1000, et projetées en 2 mètres de large par le vidéoprojecteur DAVIS, donne un bon résultat.

La copie de DVD sur cassette DV, ou DVHS en MPEG2, permet d'obtenir une qualité d'image comparable à l'original. Cette sauvegarde n'est que moyennement intéressante, car on perd les effets sonores du surround puisque dans ce cas la piste son est enregistrée en simple stéréo.

Pour résumer, ce DHR1000 est une vraie merveille.

 

 

 

Enregistreur Pioneer DVR-920H

(installé fin 2004, il n'est plus utilisé car il ne fonctionne qu'en définition standard)

Enregistreurs de DVD de salon, c'est un appareil compatible avec les DVD-R et RW doté d’un disque dur de 250 Go, à la pointe de la technologie de l’image, aussi bien en ce qui concerne l’enregistrement que la lecture.

Il a toujours donné satisfaction. C'est un excellent appareil.

Quelques caractéristiques :

Types de disque acceptés DVD Vidéo
CD Vidéo
SVCD
DVD-R
DVD-RW
CD
CD-R
CD-RW

Formats de fichier acceptés MP3
WMA
JPEG

Entrées 1 connecteur composite
1 S-Video
1 Audio Analogique
1 RF
RVB (via SCART)
Entrée DV iLINK
Composite (via SCART)
S-Vidéo (via SCART)
Audio (via SCART)

Connecteurs en façade Entrée composite
Entrée S-Vid
Entrée audio
Entrée / Sortie DV iLINK

Si vous voulez en savoir plus sur cet appareil, cliquez sur le bouton rouge.

 

 

 

Panasonic DMR-BW500

Le lecteur enregistreur blu-ray HD multifonctions

 

Voici le haut de gamme de Panasonic, dans le domaine de la lecture des DVD et des Blu-ray, ainsi que pour la réception et l'enregistrement en haute définition.

Premier graveur Blu-ray double tuner TNT HD avec disque dur de 500Go
Pour
regardez et enregistrez tout ce que l'on veut en HD sans limite (Regarder une chaîne HD et enregistrer une autre simultanément ).
L'enregistrement peut se faire sur Blu-ray et sur disque dur en HD, ou sur DVD et disque dur en définition standard.
On enregistre jusqu'à 885 heures maximum en définition standard, jusqu'à 100 heures de TNT HD, et jusqu'à 190 heures d'images en AVCHD provenant d'un caméscope HD.
Que ce soit la qualité d'image, la qualité de son ou un accès à tous les nouveaux bonus disponiles, le BW500 regroupe l'ensemble des technologies permettant de profiter totalement du Blu-ray.
La compatibilité avec les formats de son multicanal : Dolby Digital plus, Dolby Digital True HD et DTS HD ouvrent les portes du 7.1 et offrent un rendu sonore haut de gamme
.

Cet enregistreur-Lecteur donne une très belle image en vidéoprojection. L'image est superbe avec les blu-ray, mais également avec les DVD.

 Si vous voulez en savoir plus sur cet appareil, cliquez sur le bouton rouge !

 

 

 

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